Tribune collective
Quand l’écoute se libère, le gouvernement bâillonne les féministes
Aurore Bergé a déclaré vouloir "passer au crible les associations féministes" afin de supprimer les financements en cas de "propos ambigus" au sujet du 7 octobre. Un énième signe du "backlash" anti-féministe, alors que nous assistons à un nouvel élan du mouvement #MeToo. Un large ensemble d'organisations et personnalités répondent : "n’inversons pas les rôles : féministes, nous croyons les victimes, dénonçons toutes les violences masculines. Nous ne vous laisserons pas instrumentaliser nos combats."